Il y a peu de temps encore, tout débat ou questionnement sur l’environnement se concluait inéluctablement par un ralliement indiscutable à la notion de développement durable. Mais paradoxalement, après plus de vingt ans, le succès du concept semble en avoir atténué la portée et la signification. Rien de plus galvaudé aujourd’hui que cette idée de développement durable que certains ont peut-être trop facilement résumé comme la réconciliation entre l’économie et l’environnement; le pilier social passant le plus souvent à la trappe.
Dans le sillage de ce développement durable, de nouveaux slogans ont fait florès soulignant un intérêt grandissant et sans doute non dissimulé d’un nombre croissant d’acteurs sociaux divers (entreprises, gouvernements, citoyens-consommateurs) pour la question environnementale. Mais là encore, le marketing vert n’a pas toujours su résister aux sirènes du « greenwashing ».
Aujourd’hui, apparaît le principe d’éco-responsabilité. Tout en espérant que cette idée n’aillent pas rejoindre la cohorte des concepts miracles, ou mirages de « verdissement », il faut y déceler un certain potentiel pour raviver la flamme de l’engagement environnemental qui semble presque retombé après l’euphorie et l’apogée médiatique atteintes par le Sommet de Copenhague.
La notion même de responsabilité permet d’insister plus lourdement sur l’idée que si l’origine des désastres écologiques, qui nous guettent est probablement collective, le début de la solution requiert une prise de conscience et un engagement de chacun à son niveau. Il s’agit donc de convaincre les entreprises et les industriels, mais aussi les personnels de l’Etat et des collectivités et, au-delà, l’ensemble des citoyens, de la nécessité d’adopter d’autres comportements au quotidien. Tous les acteurs ont en effet une responsabilité quant au choix qu’ils posent en matière d’environnement. Les gouvernements dans leur choix et la mise en œuvre de leurs politiques, les entreprises au niveau des produits et services qu’ils mettent sur le marché, enfin les citoyens dans leur choix de consommation.
Retenons que l’éco-responsabilité peut finalement être résumée comme une démarche volontaire qui vise à réduire les impacts environnementaux /écologiques de toute activité. Cette dernière s’inscrit dans une approche globale de prise en compte des mêmes enjeux qui ont fait émerger jadis le « développement durable ». On peut donc parler d’une responsabilité à 3 volets : une responsabilité environnementale, une responsabilité sociale et une responsabilité économique. En d’autres termes, il s’agit, non seulement de préserver et de mettre en valeur l’environnement, mais également de contribuer à l’amélioration des conditions de travail et au développement économique.
Ce blog a donc pour objet de discuter des enjeux de l’éco-responsabilité, de vous présenter l’intérêt des démarches éco-responsables pour les entreprises, les collectivités et les municipalités. A l’image de l’écho qui se propage, ce blog se propose de contribuer à sa mesure à la diffusion de ce concept prometteur aux applications très concrètes ouvrant la voie vers une société plus durable.
Dans le sillage de ce développement durable, de nouveaux slogans ont fait florès soulignant un intérêt grandissant et sans doute non dissimulé d’un nombre croissant d’acteurs sociaux divers (entreprises, gouvernements, citoyens-consommateurs) pour la question environnementale. Mais là encore, le marketing vert n’a pas toujours su résister aux sirènes du « greenwashing ».
Aujourd’hui, apparaît le principe d’éco-responsabilité. Tout en espérant que cette idée n’aillent pas rejoindre la cohorte des concepts miracles, ou mirages de « verdissement », il faut y déceler un certain potentiel pour raviver la flamme de l’engagement environnemental qui semble presque retombé après l’euphorie et l’apogée médiatique atteintes par le Sommet de Copenhague.
La notion même de responsabilité permet d’insister plus lourdement sur l’idée que si l’origine des désastres écologiques, qui nous guettent est probablement collective, le début de la solution requiert une prise de conscience et un engagement de chacun à son niveau. Il s’agit donc de convaincre les entreprises et les industriels, mais aussi les personnels de l’Etat et des collectivités et, au-delà, l’ensemble des citoyens, de la nécessité d’adopter d’autres comportements au quotidien. Tous les acteurs ont en effet une responsabilité quant au choix qu’ils posent en matière d’environnement. Les gouvernements dans leur choix et la mise en œuvre de leurs politiques, les entreprises au niveau des produits et services qu’ils mettent sur le marché, enfin les citoyens dans leur choix de consommation.
Retenons que l’éco-responsabilité peut finalement être résumée comme une démarche volontaire qui vise à réduire les impacts environnementaux /écologiques de toute activité. Cette dernière s’inscrit dans une approche globale de prise en compte des mêmes enjeux qui ont fait émerger jadis le « développement durable ». On peut donc parler d’une responsabilité à 3 volets : une responsabilité environnementale, une responsabilité sociale et une responsabilité économique. En d’autres termes, il s’agit, non seulement de préserver et de mettre en valeur l’environnement, mais également de contribuer à l’amélioration des conditions de travail et au développement économique.
Ce blog a donc pour objet de discuter des enjeux de l’éco-responsabilité, de vous présenter l’intérêt des démarches éco-responsables pour les entreprises, les collectivités et les municipalités. A l’image de l’écho qui se propage, ce blog se propose de contribuer à sa mesure à la diffusion de ce concept prometteur aux applications très concrètes ouvrant la voie vers une société plus durable.
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